Hack-Console

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

mardi, janvier 6 2009

Gears of War 1 Collector 30€

gowcollector2.jpg

Devil May Cry 4 Collector 30€

410QS5rVxNL._SL500_AA280_.jpg

dimanche, janvier 4 2009

Gagner du Temp Pour Demonter la Xbox 360


ouverture xbox360

Gears of war 2

Monumental, le premier Gears of War l'était assurément. Monstre graphique dégoulinant de sang, porté par une furie dévastatrice et une violence rare, le titre d'Epic avait su se hisser sur le podium des meilleurs softs de la 360. Mais la bête, aussi sauvage fut-elle, accusait çà et là quelques petites faiblesses. Un classicisme certain mais somme toute masqué par une progression féroce et sans temps morts. Une prise en main perfectible dans laquelle on s'empêtrait régulièrement. Un scénario taillé à la tronçonneuse. Un multi sympa mais brut de décoffrage. Autant de détails qui cumulés, encombraient un titre qui n'en restait pas moins épique. Forts de ces considérations, le Cliff et sa clique ont remis le couvert et se sont efforcés de donner vie à un titan, un titan assujetti à un seul concept, celui de la surenchère. Soyez donc sur vos gardes, car même si nous évoluons en terrain connu, le combat à venir risque bien de vous laisser sur le carreau.

Six mois se sont écoulés depuis la descente aux enfers des Gears, six mois que le cerveau putride du général RAAM s'est répandu sur le sol, six mois que la fameuse bombe lumière censée mettre un terme au conflit a explosé. Pourtant, des entrailles déchirées de la planète Sera, les locustes continuent de se déverser comme un raz de marée. Plus féroces, plus nombreux, ils disposent de surcroît d'une arme capable d'engloutir des villes entières d'un seul coup. L'humanité n'a depuis lors plus connu que la défaite. Seule une unique cité tient encore debout, la fière Jacinto, épargnée par les locustes. Mais pour combien de temps encore ? Perdus pour perdus, les humains s'apprêtent donc à lancer leur ultime assaut. Cette offensive mue par l'énergie d'un désespoir bien compréhensible vise à porter le combat en territoire ennemi, sous terre, une ultime fois.gow2x300d.jpg

On s'attendait certainement à ce que le bébé d'Epic nous livre ce genre de spectacle, mais on ne se doutait sans doute pas qu'il parviendrait à un tel degré d'intensité. Plus étonnant encore est sa volonté d'offrir un peu de densité à son univers. Cela passe en premier lieu par un recours plus soutenu aux cinématiques. Ces dernières sont à la fois plus longues et mieux mises en scène que dans le premier jeu. Leurs propos, sans rien dévoiler, visent à davantage impliquer le joueur dans l'histoire. Ainsi, si on aura droit à notre quota de tronçonnage et d'insultes lancées par les voix gutturales des protagonistes que l'on commence maintenant à connaître, l'approche se veut occasionnellement plus personnelle. Gears 2, au-delà des terribles enjeux qu'il parvient enfin à mettre en avant, prend également le temps de s'attarder sur la quête de Dom (le pote du héros) pour retrouver sa femme. Qu'on se rassure, Gears ne verse pas dans le mélodrame, il n'y prétend pas et n'aurait rien à faire dans un tel domaine, mais il réussit dans une certaine mesure à toucher le joueur. Certains riront sans doute de ces commentaires, mais d'autres apprécieront cette étonnante dimension dans un shooter aussi bourrin que celui-ci. Le tout culminant en une séquence pour le moins déstabilisante que nous vous laissons le soin de découvrir par vous-même.gow2x3115.jpg

gow2x3166.jpg

gow2x3191.jpg

Graphismes 18/20

Au premier abord, difficile de faire la différence entre Gears of War 2 et son prédécesseur. Les nuances semblent extrêmement subtiles, surtout si l'on ne dispose pas d'une télé HD. Une gestion de la lumière améliorée, des mouvements légèrement plus fluides, des détails plus nombreux, des animations supplémentaires, voilà tout. Cependant, on s'aperçoit vite que le travail des graphistes s'est surtout porté sur les environnements et la profondeur de champ. Vastes, écrasants même, les décors sont sublimes et accueillent une multitude de séquences annexes, destinées à nous plonger en plein coeur d'un conflit d'envergure. Les bâtiments volent en éclats, les soldats s'étripent joyeusement dans un tourbillon de flammes et de tripes volantes. Bref, on profite d'un spectacle d'une fantastique puissance visuelle, sans que cela nuise pour autant à la fluidité de l'ensemble.

Jouabilité 18/20

Là encore les nuances ne semblent pas légion par rapport au premier Gears. Tout repose encore sur une utilisation permanente des différents abris que vous offrent le terrain. Mais on appréciera grandement la possibilité de dissocier la course de la mise à couvert. Pour le reste, Gears 2 enchaîne avec brio les séquences de folie pure, au point qu'on en ressort souvent essoufflé, tétanisé, mais heureux. L'IA n'est pas étrangère à ce phénomène et compte probablement parmi l'une des plus convaincantes du moment, même si on ne coupera pas à quelques moments de grand n'importe quoi.

Durée de vie 16/20

Tout dépend de votre approche. Si vous ne comptez jouer qu'à la campagne, le soft vous occupera pendant 8 ou 9 heures, en sachant que les habitués du premier Gears se doivent de commencer par le mode Vétéran. Mais le jeu prend véritablement tout son intérêt lorsqu'on le traverse à deux, en compagnie d'un pote avide de pizzas et de tripaille. Le multi, nettement plus complet qu'auparavant, se chargera de vous retenir pendant des nuits et des nuits, d'autant que les bots complètent avec efficacité les rangs des joueurs.

Bande son 17/20

Les voix françaises, gutturales à souhait, collent bien aux tronches de caterpillars des différents personnages. Dommage que leur volume soit si bas et force le joueur à activer les sous-titres. Quant aux thèmes musicaux, signés pour la plupart par le compositeur de la BO de Transformers, ils soutiennent avec maestria des scènes d'action rageuses.

Scénario 14/20

Un effort certain a été déployé pour faire de Gears of War 2 plus qu'un simple shooter sans âme. Certains adhéreront, d'autres en riront sans doute. Pour notre part, le jeu remplit son contrat et donne plus de cohérence à son univers. Reste que Gears, quoi qu'on en dise, c'est avant tout une histoire de tronçonneuses et de corps répandus sur plusieurs dizaines de mètres.

Note Générale 19/20

Véritable machine de guerre, Gears of War 2 se pose indubitablement comme l'un des titres d'action les plus généreux du moment. Gigantesque défouloir, immense pourvoyeur de tripaille, le soft se fait l'esclave du plus et livre un spectacle à couper le souffle. Beau, intense au point d'en devenir épuisant, le titre d'Epic ne réinvente rien mais procure un immense plaisir au joueur, et c'est là tout ce qu'on désire. Cette note tient également compte d'un mode multijoueur extrêmement complet et soutenu par une ribambelle de bots à la redoutable efficacité. Quelle que soit votre optique, il est impossible de ne pas ressentir un frisson en se plongeant dans le conflit. L'un des softs les plus sauvages de ces dernières années, à consommer sans la moindre modération, si toutefois vous n'avez pas peur des éclaboussures.

Dead Space

Dead Space vous met dans la peau d'Isaac Clarke, un ingénieur envoyé au secours de l’USS Ishimura, un immense complexe spatial minier qui ne donne plus signe de vie. Lors de l’approche du complexe, une défaillance du rayon tracteur oblige votre vaisseau et son équipage à se poser en catastrophe. L’absence d’agent de sécurité à l’intérieur du complexe ne laisse rien présager de bon, et les choses se compliquent lorsque l’équipage se fait attaquer par une entité inconnue, séparant Isaac du reste de son groupe. Livré à lui-même, notre héros malgré lui va entamer un périple mortel et va tenter l’impossible pour s’échapper de ce qui s’avèrera être un gigantesque tombeau flottant dans l’espace…

02.jpg

Ne nous attardons pas plus sur le scénario. Bien que sympathique, celui-ci ne propose guère d’originalité et s’inspire très largement de plusieurs œuvres cinématographiques ou vidéoludiques, la plus évidente étant le film de Ridley Scott, Alien. Ceux qui ont joué à Doom 3 ne seront pas non plus dépaysés, l’ambiance y étant très similaire. Avec de telles références, on ne peut qu’espérer une ambiance stressante et gore. Pari réussi pour Electronics Arts, Dead Space vous plonge en un lieu où la tension est permanente, où l’on sait que chaque recoin d’un couloir mal éclairé peut révéler une nouvelle monstruosité, où chaque bruit peut signifier un danger mortel. On saluera particulièrement le travail des développeurs pour leur travail sur l’éclairage, tout bonnement sublime. Les effets d’ombre et lumière sont parfaitement réussis et immergent un peu plus le joueur dans cet univers glauque.

Glauque, mais pas seulement. Ames sensibles s’abstenir, Dead Space est également très violent, l’hémoglobine y coule à flots, que ce soit celle de l’équipage du complexe ou de vos ennemis. Pour vous défaire de ceux-ci, il ne suffira pas de leur vider le traditionnel chargeur de mitrailleuse laser dans le corps. Non, dans Dead Space, à l’image de votre première arme qui est le cutter laser, vous devrez faire preuve d’une précision quasi chirurgicale pour triompher de vos adversaires. Ceux-ci ne seront en effet vaincus que par la voie du démembrement : tranchez leur les bras, coupez leur les jambes, c’est le seul moyen efficace dont vous disposerez pour progresser. Il n’est pas rare que certains monstres, à demi-amputés des jambes, continuent à ramper vers vous à l’aide de leurs bras, criant et hurlant leur haine de la vie.

04.jpg

Lors de votre progression, vous trouverez de nombreux rapports, vidéos, journaux, qui retraceront ce qui s’est passé sur le complexe, et comment la situation en est arrivée là, un peu à la manière d’un Bioshock dont Dead Space s’inspire d’ailleurs de quelques éléments. Outre les huit armes dont vous pourrez disposer au cours de l’aventure, Isaac est également muni d’un générateur de stase –qui vous permettra de ralentir objets et ennemis -, mais aussi d’un équipement télékinésique, très pratique pour utiliser les débris de l’environnement comme projectiles potentiels. Il vous sera possible d’acheter munitions et kits de vie en échange de précieux crédits obtenus au cours de votre périple, et un système de points vous permettra également d’améliorer votre équipement, tel que la capacité d’air de votre combinaison protectrice. Oui, vous serez parfois amenés à évoluer à l’extérieur du vaisseau, dans des zones sans air, dans lesquelles le spectacle qui s’offrira à vos yeux pourrait bien vous faire oublier que la jauge d’oxygène de votre combinaison est en train de descendre dangereusement. Des zones sans gravité seront également de la partie, pour notre plus grand plaisir. Inutile cependant d’espérer améliorer tout votre équipement au maximum dès la première partie, plusieurs passages seront nécessaires pour y parvenir.

03.jpg

Finalement, ce qui fait la difficulté de Dead Space, ce n’est pas tant le caractère agressif et sans pitié des aliens qui pullulent dans le vaisseau, mais bien l’état de stress ininterrompu dans lequel le jeu vous maintient. Ici, le joueur n’est pas simple spectateur, toute son attention et tous ses réflexes lui seront nécessaires pour triompher, la moindre passivité se traduisant bien souvent par une mort atroce. Les bruitages très réussis, les musiques inquiétantes, tout est ici mis en œuvre pour créer l’émotion chez le joueur, une peur intense qui ne nous lâche jamais, jusqu’au dénouement apocalyptique, même si pour vraiment profiter du jeu il faudra quand même s’en donner les moyens : évitez de jouer à Dead Space en plein après-midi ensoleillée, avec votre gamine qui écoute la parade de Mickey en musique de fond, vous risqueriez de perdre une grande part d’immersion, et donc de plaisir. Car aucun doute, le plaisir est bien là, et si l’aventure se termine assez facilement en mode raisonnable, le mode impossible – à débloquer – vous assure un vrai challenge dans lequel la maîtrise de votre personnage et de l’environnement est obligatoire. Dead Space est à n’en pas douter un achat indispensable en cette fin d’année, et vous auriez tort de passer à côté de ce qui est tout simplement le meilleur jeu de l’année dans sa catégorie.

deadspace01.jpg

Graphismes : 16/20

Superbe ! Les décors, tout droit sortis de l’imagination de Giger, immergent admirablement le joueur dans une ambiance futuriste. Ne soyez pas surpris de tomber en émerveillement à certains moments, comme dans les zones sans air ou la beauté se dispute à l’émerveillement. Tout juste pourra-t-on regretter l’aliasing relativement présent, Dead Space ne s’affichant qu’en 720p.

Jouabilité : 16/20

Le dos de l’armure d’Isaac fait office d’interface, riche idée qui permet de libérer de la place sur l’écran, pour le plus grand plaisir du joueur. La possibilité de switcher entre les armes par le biais de la croix directionnelle sera également appréciée. Les puristes pourront tout de même reprocher une gestion des sauvegardes peu pratique, mais ceci n’est qu’un détail qui ne gâche en rien l’expérience de jeu. Le système de visée, très précis, est similaire à celui d’un certain Resident Evil 4. Pour finir, la possibilité de visualiser le chemin à emprunter pour mener à bien son objectif via une simple pression sur le stick droit est très pratique.

Scénario : 12/20

Sans être exceptionnel, l’histoire reste suffisamment prenante pour que l’on s’y intéresse. On retrouvera de nombreuses références au cours de l’aventure, comme Event Horizon ou Doom 3. Dead Space ne renouvelle en rien le genre à ce niveau-là, mais s’inspire du meilleur de nombreuses œuvres pour en faire un melting pot finalement réussi.

Durée de vie : 12/20

Une douzaine d’heure en moyenne suffira à boucler l’aventure, Dead Space étant très linéaire dans sa progression. La rejouabilité est assurée cependant, notamment via la présence d’un mode new game + dans lequel on pourra recommencer le jeu avec son équipement amélioré, et d’un mode impossible qui vous tiendra en haleine pendant de longues heures, pour peu que vous ayez le courage de vous y plonger.

Bande-son : 18/20

Les bruitages et musiques collent parfaitement au titre et vous maintiendront dans un état de tension permanente. Ceux-ci ponctuent les combats à merveille, et il sera fréquent de sursauter suite au bruit d’une paroi de verre qui éclate, ou de se retourner à 180°, les mains moites, en se demandant quel était ce drôle de gargouillis qui venait de derrière vous.

Note finale : 16/20

Dead Space est une production admirablement menée, où chaque détail est pensé pour maintenir le joueur en haleine et l’immerger dans un univers dans lequel la tension est omniprésente. EA a su trouver l’alchimie qui fait de ce jeu plus qu’un simple survival horror, Dead Space est une expérience de jeu unique qui ne laissera personne indifférent. Espérons que cette nouvelle franchise continue dans cette voie et que d’autres épisodes voient bientôt le jour, pour notre plus grand plaisir.

SOurce:PS3GEN.FR

Debannir sa xbox 360 TuTos

Le principe : Pour débannir une xbox360 il faut patcher sa nand par le keyvault d'une autre xbox360 non bannie. C'est une phrase assez simple à comprendre mais assez complexe à effectuer.

Le lexique : - La nand est un fichier de 16,5 Mo (17 301 504 octets) contenant le dash de la console... - Le keyvault, appellé généralement kv.bin est un fichier de 16,5 Mo (17 301 504 octets) contenant les principales caractéristiques de votre console : région, clef DVD... - La clef CPU est propre à chaque console, sans elle quasiment aucun accés n'est possible

Les "comment je fais pour" :

Comment extraire le keyvault? Il extrait d'une nand grace à la clef CPU et l'appli Flashtool de Robinsod.

Comment obtenir la nand et clef CPu? Il vous faut obligatoirement passer par le kernel 4532 ou 4548 pour récupérer la clef CPU. Ensuite suivre ce tuto : Dumper La Nand, La Clef Cpu Et Le 1bl

Comment mettre sa console en 4532 ou 4548? Il peut se faire : - par upgrade : si vous êtes en version inférieure à 4532, il faut que vous upgradiez votre console en 4532. Pour cela téléchargez la mise à jour 4532 disponible ici : mise à jour 4532 (si GX mod pouvait l'héberger, ça serait cool) - par downgrade : suivez ce tuto : Timing Attack


C'est parti :

A faire sur les 2 consoles : - les mettre en 4532 ou 4548 - dumper la nand et la clef CPU.

A faire sur la console non bannie : Il vous faut maintenant récupérer le kv.bin de la console non bannie pour le réinjecter dans la nand de la console à débannir. Pour cela il vous faut l'appli Flashtool. 1/Lancez Flashtool 2/Cliquez sur Keys et faites un copier/coller des clefs CPU et 1BL aux endroits où elles vous sont demandées et faites OK /!\ la clef CPU de la console non bannie /!\ : 34ne1.jpg

3/Cliquez sur Dump Files et sélectionnez la nand de la console /!\ celle de la console non bannie /!\ : 35bs2.jpg

4/Cliquez sur Extract, cochez la case Key Vault, faites OK et indiquez l'emplacement où vous voulez placer votre kv.bin .

Voilà, votre kv.bin a été extrait.

Débannir la/les console(s) à bannir : Vous n'avez plus qu'à patcher la nand des consoles bannies par le kv.bin fraichement extrait. 1/Lancez Flashtool 2/Cliquez sur Keys et faites un copier/coller des clefs CPU et 1BL aux endroits où elles vous sont demandées et faites OK /!\ la clef CPU de la console bannie /!\ 3/Cliquez sur Dump Files et sélectionnez la nand de la console /!\ celle de la console bannie /!\ 4/Cliquez sur Patch, puis Patch keyvault, puis Import keyvault puis les ... :patchgt2.jpg

5/Dans la fenêtre alors ouverte, allez chercher le kv.bin précédemment extraite et Faites Ok. Une seconde fenêtre vient remplacer la première vous demandant où enregistrer votre nand patché. Nommé la deban.bin et cliquez Enregistrer :debantv6.jpg

Voilà vous avez maintenant la nand de votre xbox bannie patchée avec le keyvault de la console non bannie, elle se nomme deban.bin. Il ne reste plus qu'à flasher la nand de votre xbox bannie.

1/Déconnectez votre console de votre écran,déconnectez votre cable d'alimentation de votre console, attendez 10 secondes et reconnectez le. 2/Lancez le Infectus Programmer. Dans le rectangle rouge apparaît et le mot Disconnect est affiché (rectangle bleu)36180175aj4.jpg

3/Connectez le cable USB à votre PC et à votre Infectus, les sont alors remplacés par des chiffres dans mon cas AD73. Disconnect a été remplacé par le nom de la nand, ici : Hynux HY27US08281A24948644ad5.jpg

4/Remettez à 0 votre puce. Faites Flash Command puis Erase. L'effacement s'effectue alors. Cela prends environ 1 min.erasing2dp8.jpg

5/Faites Flash Command puis Blank Check. L'opération s'effectue alors. Cela prends environ 3 min.53551012sp0.jpg

6/Faites Flash Command puis Write. Sélectionner le fichier deban.bin puis Open. Le flash s'effectue alors. Cela prends environ 3 min.54187152yv2.jpg

7/Déconnectez votre Infectus, fermer le programmateur, reconnectez votre console de votre écran, déconnectez votre cable d'alimentation de votre console, attendez 10 secondes et reconnectez le.

Ceci fait, allez vérifier que le débannissement a bien été fait en tentant une connexion XboxLive.


En rab : pour les pointilleux et les amateurs du travail bien fait : Pour débannir une console, vous n'avez en fait pas besoin de tout le keyvault d'un console non bannie mais seulement d'une partie, la partie C. Cette partie C se situe de l'offset 328 (0x00000148) à l'offset 3185 (0x00000C71) soit 2,79 Ko (2 858 octets) du kv.bin. Donc en passant par un éditeur héxa, vous pouvez très bien échanger ces valeurs entre les 2 keyvaults pour débannir la console.




Foire Aux Questions

Comment MS interdit-il l'accés au Live? Lors de tentative de connexion au Live, un scan de nand est effectué permettant l'accés ou non au Live.

Sur Live, peut-on utiliser le meme keyvault sur plusieurs consoles à des instants différents? Oui.

Sur Live, peut-on utiliser le meme keyvault sur plusieurs consoles au même moment? Oui.

Il suffit de récupérer le Keyvaukt d'une console non bannie pour débannir ? Oui, il faut aussi la clef CPU de la console à débannir.

Je n'ai pas de console non bannie, comment récuper un keyvault d'une console non bannie? La diffusion de ce genre de fichier est illégal, vous n'aurez pas de lien de téléchargement ici.

Faut-il forcement avoir une puce Infectus pour pouvoir esperer reussir ce genre de manip? C'est très recommandé.

Si on fait une sauvegarde de son Keyvault non banni (à l'achat de la console) et que un jour la console est bannie, est il possible de la débannir grâce à sa sauvegarde? Non.

Est ce que tu es obligé de prendre un 1888 ou alors tu peux prendre un des derniers? Peu importe le dump de nand utilisé : 1888, 4532, 4548, 5767... mais 1888, c'est mon préféré tongue.gif

Source:gueux-forum.net

samedi, janvier 3 2009

Xbox Live Gold 12 Mois 50.00€

pa.95088.1.jpg

Linker Nintendo Ds Prix 55 €

Grace au Linker Nintendo Ds vous pourrez:

- regarder des videos - lancer des logiciels ( tel que msn... ) - copier vos jeux ds sur la carte mémoire du linker afin de ne plus se prendre la tête avec des dizaines de cartouche. - lancer vos mp3 - regarder vos images - lire vos ebooks - ect r4.jpg

Flash du lecteur Hitachi (Benq et Lite-on en Attente) Prix 45 €

flash.jpg

Flash Lecteur xbox 360

Le flash d'une xbox 360 est la manière la plus sûre d'utiliser pleinement les capacités de votre xbox 360: Profitez d'une compatibilité avec des jeux imports, ou jouez avec les copies de vos jeux originaux.

Le flash est une opération ne nécessitant aucune soudure, ni pose de puce. 100% de réussite

Détails Xbox360

La différence entre le flash et la puce s'observe à différents niveaux:

-Le flash ne nécessite pas de soudure sur la carte mere de votre console, il s'agit seulement d'une communication logicielle avec le lecteur Dvd.

- Avec le flash, mise a jour possible du lecteur Dvd rapide et simple. Avec la puce, mise a jour parfois plus complexe ou impossible.

-Création de la copie de votre jeu extremement simple avec le flash, mais beaucoup plus complexe pour être compatible avec une puce.

- Temps de manipulation, 20 minutes seulement pour un flash, beaucoup moins long et moins cher que pour une puce.